Encas de sinistre sur un mur mitoyen, comme énoncé par la 3e chambre civile 19 octobre 2005 lors du pourvoi 04-15828, « le copropriétaire d'un mur mitoyen doit supporter seul les frais de réparation ou de reconstruction de ce mur lorsque la réparation ou la reconstruction est rendue nécessaire par son propre fait ou par le fait des choses qu'il a sous sa garde ».
Selon la SNCF, l’éboulement a eu lieu lundi 31 janvier ». Le viaduc se situe au niveau du garage Liquet, à l’endroit où la ligne de chemin de fer enjambe le gave d’Aspe. La circulation a été coupée jusqu’à nouvel ordre, indique la communication de la SNCF. La reprise n’est pas envisagée avant le 1er mars, d’ici là aucun train ne circulera sur les voies et les trajets se feront avec des bus. » Avant de remettre cet ouvrage en pierre en état, il faut que l’on fasse un constat, qu’on mène des investigations pour définir quoi faire pour tout sécuriser. Et essayer de comprendre ce qui s’est passé », reprend la trains passaient encore lundiLa Région Nouvelle-Aquitaine, qui gère la ligne Oloron-Bedous via les TER, confirme avoir été informée par la SNCF lundi après-midi de l’effondrement du Perré de Sarrance et d’éboulements de talus de part et d’autre de la zone », ce qui serait arrivé en fin de matinée, lundi 31 janvier. La ligne est fragilisée, de ce fait, lundi, les circulations ont eu lieu en marche prudente, inférieures à 30 kilomètres par heure », précise la expertise technique a été réalisée ce mardi afin de définir les conditions de circulation à venir » et la consistance des travaux à réaliser ».Le mur était fragilisé, la SNCF était attentive »Au garage situé tout près des lieux de l’éboulement, j’ai vu beaucoup de gens travailler sur la voie ferrée, est-ce que ça a un lien ? », se demandait une vendeuse. Depuis ce mardi matin, il y a plein d’ouvriers à l’œuvre », a-t-elle constaté. Dans le village, on entend que les problèmes seraient apparus consécutivement aux deux crues que le gave d’Aspe a connues en moins d’un hypothèse que confirme le Comité de réouverture de la ligne Oloron-Canfranc Creloc, pas surpris de cette information. À Sarrance se trouvent deux zones délicates bien identifiées par la SNCF l’une d’elles concernait le mur effondré, qui protège un des piliers du viaduc qui franchit le gave d’Aspe. Il était déjà fragilisé depuis deux ou trois ans. Cela s’est peut-être aggravé après les inondations de décembre et janvier qui ont fini de le fracturer ».Pour le Creloc, la SNCF était attentive à cet endroit, mais surveille également un autre, juste après la halte de Sarrance en direction de l’Espagne. Là se trouve un talus qui a fait l’objet de confortements en 2021 et qui a aussi souffert des récentes crues, avec des chutes de pierres plus ou moins importantes qui marquent une grande fragilité dans cette zone sensible ». Coincé entre montagne et rivière »L’entrée de Bedous n’échappe pas non plus aux aléas climatiques. Toujours sur le tracé de la ligne de chemin de fer, un glissement de terrain, mi-avril 2020, avait déposé sur la voie de grosses souches d’arbres le trafic n’avait pu reprendre que début juin. Notons que le phénomène ne touche pas que le chemin de fer, mais aussi la route nationale, précise encore le Creloc. La RN 134 a elle aussi souffert des crues, tout comme une départementale au niveau d’Escot, qui fait l’objet d’un passage alterné car la chaussée menace de s’effondrer. C’est le lot, quand on est coincé entre montagne et rivière. La vallée va continuer à subir ces modifications brutales en fonction des aléas climatiques. C’est la vie des zones de montagne. »Unmur de soutènement s'est effondré ce samedi après-midi dans le jardin d'une habitation à Puygiron, dans la Drôme. L'éboulement a complètement détruit la piscine hors-sol qui s'y trouvait. HomeActualitéUn mur qui menace de s’effondrer peut être considéré comme un trouble du voisinage – Divers L'immobilier recrute ! Devenez négociateur immobilier ou partager l'info...Un événement futur peut être un trouble de voisinage. ©Engin_Akyurt – PixabayUn évènement dont la réalisation est fort probable peut être considéré comme un trouble du voisinage.BFM Immo – Il est possible de se plaindre d’un trouble de voisinage si l’on s’inquiète d’un événement à venir dont la réalisation est fortement probable. Le risque d’effondrement à plus ou moins long terme sur la propriété voisine d’un mur mal construit a ainsi été jugé comme trouble anormal de voisinage par la Cour de propriétaire du mur a été condamné à le démolir et à le reconstruire dans les règles de l’art, sous les directives d’un maître d’oeuvre, ce qui représentait une dépense importante. La Cour a rejeté son argument alors qu’il faisait valoir que l’expertise qualifiait seulement sa construction de “précaire” et ne concluait pas à un risque mal bâtiLe voisin ne peut pas être contraint de supporter ce risque permanent, a conclu la Cour, devant un mur de soutènement qui avait été mal bâti dans une zone pentue. Elle avait déjà admis en décembre 2014 qu’un arbre penché, menaçant, constitue un trouble nombreuses situations diverses ont déjà été qualifiées de trouble anormal de voisinage par la Cour. Ainsi, le maintien de détritus dans un jardin, à la vue du voisin, a été qualifié de trouble anormal en mars 2018. Ces troubles peuvent aussi résulter de bruits et même de musique, d’odeurs ou encore d’une simple gêne comme la perte d’ensoleillement ou la fumée de la cheminée. Cass. Civ2, Y AFP Source Unglissement de terrain a entraîné la chute d'un mur de soutènement dans notre jardin, juste devant la maison. la catastrophe naturelle a été reconnue sur la commune. l'assurance va-t-elle prendre en charge la reconstruction du mur ? ils ne sont pas - Posée par Nanou. Attention vous n'êtes pas connecté à internet. , * * * * * Un mur de soutènement a cédé ce jeudi à 5h35 dans le 4e arrondissement de Lyon Un mur de soutènement a lâché ce jeudi 2 mai à 5h35, rue Bleton, dans le 4e arrondissement de Lyon. La structure a cédé sur 10m de long et 3m de hauteur. Un camping-car qui était stationné là a été touché par l'effondrement. Ses deux occupants vont être relogés par la ville de Lyon. Aucun blessé n'est à déplorer. Le 27 avril dernier, un mur de soutènement avait également cédé dans le vieux Lyon. 14 personnes avaient alors dû être évacuées de leur logement.
Cest ce phénomène naturel qui s’est produit, le 3 février à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, lorsque à la mi-journée, un mur de soutènement de
Le mur de soutènement d'une école primaire s'est effondré dans la nuit de samedi 19 à dimanche 20 décembre, causant la colère des villageois qui ont déjà soulevé le problème depuis un certain temps. Il s'agit de l'établissement scolaire du village Takana, dans la commune d'Aït Yahia, à Tizi Ouzou, qui compte d'autres parties menaçant ruine. Selon les images d'un reportage de la chaîne Ennahar, le mur de soutènement qui s'est effondré aurait pu faire des victimes s'il avait chuté durant la journée. Il est tombé sur l'allée empruntée par les élèves de ce village de la région de Aïn El Hammam, en Kabylie. Les locaux de l'école sont situés en contrebas de ce mur, d'où le danger sur l'infrastructure elle-même. Aussi, selon les mêmes images, d'autres murs menacent de s'effondrer également, vu la vétusté des différentes structures. Le plus grave reste celui de l'autre mur de soutènement situé en contrebas de l'école. Les habitants du village ont peur qu'il entraîne toute l'école, s'il s'effondre. Donc, un danger permanent sur la tête des enfants du village scolarisés dans cette école. Il faut dire que la colère des villageois n'est pas fortuite. Elle vient des nombreuses démarches et interpellations autour du danger qui guette leurs enfants tous les matins à leur arrivée à l'école. Certains parent d'élèves ont intervenu dans le reportage pour dénoncer le laxisme des autorités de la wilaya, de la daïra et de la commune. Ils interpellent les autorités, particulièrement les responsables de la wilaya de Tizi Ouzou, pour qu'ils agissent au profit de cet établissement scolaire avant qu'un drame ne survienne. D'autant plus que l'établissement en question souffre déjà de nombreux problèmes, notamment le manque d'eau et l'état désastreux des sanitaires. Lire aussi Alger Effondrement partiel d’un immeuble à la Casbah
Leterrain non constructible mitoyen au mien dont le mur de soutènement appartenant uniquement au voisin ( car terrain plus haut que le mien ), est effondré et est tombé en grande partie donc : Le mur ne remplit plus sa fonction de retenir ses terres
Un énorme pan d’un mur de soutènement réalisé à la base du siège de la daïra s’est effondré lundi matin aux environs de 7h 30. L’effroyable bloc de pierres bleues taillées, haut de quelques 10 m sur 20m de long, a atterrit en plein chaussée de la rue Akkache Amar au moment du passage d’un groupe d’écolières du primaire qui se rendaient à leur école, selon plusieurs témoins oculaires rencontrés sur les lieux. Les témoins étaient encore sous le choc du fait qu’un drame a faillit se produire sous leurs yeux. Le cas de cet ouvrage dangereusement incliné a été relaté dans ces mêmes colonnes, où nous avions tiré la sonnette d’alarme sur le danger qu’il fait planer sur les nombreux usagers de cette rue, qui débouche sur le centre ville. Malheureusement, rien n’a été fait pour pallier à toute éventualité notamment celle de sa chute aux heures de pointe quand cette rue grouillait de monde. Le danger supplémentaire après sa chute est le fait d’avoir provoqué un glissement du terrain au dessous des fondations d’une partie du siège de la daïra, aménagée en hangars, dont l’étage supérieur abrite le service des archives. Ce bloc se retrouve à l’heure actuelle presque suspendu en partie dans le vide et ne tarderait pas à s’effondrer à son tour. Tout cela ne serait pas arrivé si ce pan du mur de soutènement était pris en charge dès les premiers signes, forts apparents d’ailleurs, de son inclination continue il y a trois mois. Cet ouvrage aurait du être rasé et reconstruit avant l’arrivée de l’hiver d’autant plus que son effondrement était prévisible, comme rapporté dans un précédent article. Les fortes chutes de pluies n’ont fait que précipiter son effondrement. Rappelons que cet ouvrage réalisé sans poteaux de consolidation a été sensiblement fragilisé par l’intervention de gros engins de travaux publics, notamment des lourds compacteurs, durant l’opération de l’aménagement urbain durant l’automne passé lors de l’aménagement de la rue Akkache Amar. Rappelons que le siège de la daïra qui surplombe cette rue est réalisé au sommet de la colline dénoncée localement Tighilt Licoul », avec le tracé de cette rue à sa base et qui le longe dans le sens de la longueur. Cela pour souligner l’urgence d’une prise en charge de ce mur de soutènement pour éviter une aggravation du glissement du terrain sur lequel est bâtit le siège de la daïra. Notons enfin qu’il a fallut une demi journée aux engins de travaux publics et des camions à bennes de gros tonnage pour procéder à l’enlèvement des décombres pour rétablir la circulation sur cette voie, cela en présence des services de sécurité et de la Protection civile qui ont supervisé l’opération sous des éléments naturels déchainés. Ce n’est que dans l’après midi que l’opération a été menée à terme. Oulaid Soualah PLUS D'ARTICLES
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